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rockfeeling

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Derniers commentaires
6 décembre 2006

Soit comforme et ferme-la...

On me regarde de tous les coins

On me traite de pute, pas moins

On me regarde et on se fou de mes fringues

Mais toutes ces conneries, c'est eux que ca rend dingues

Les hommes ont toujours l'art de dénigrer

Ce qui hante leurs nuits et les fait bander

Ca m'éclate leurs critiques et leurs sarcasmes

Mais ce sont eux qui vivent en se mettant a ta place

Toi, tu m'aimes en pin up complètement ravagée

Toi, je t'aime en rocker complètement survolté

J'adore me zapper pour toi, et te montrer comme je suis épanouie

Avec toi et a travers toi, je survis à la meilleure des vies...

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5 décembre 2006

Fuck The System

Tu te vois casée, enceinte et au boulot

Tu te vois en mère de famille, métro, boulot, dodo

Tu te vois nettoyant la maison familiale

Tu te vois torchant le cul de tes mômes et de ton mâle

Ton avenir se résume à ca: etude, mariage, procréation

Animale, ton avenir se concentre sur celui des futurs membres de la maison

Dans une cage, tu te vois déjà, les aidants pour leurs devoirs

Et tu repasses déjà le film des vacances à la plage en été, toi le faire-valoir

Tu sers de vache-à-lait, de poule pondeuse et d'oeuf d'or

Comment peux-tu déjà t'emfermer dans cette image de mort?

C'est le système qui dicte notre avenir, notre ligne de vie, notre route?

J'ai décidé d'emmerder le système, qu'est-ce que cela me coûte?

Pas d'enfants à nourrir ou à élever, pas de mâle dominant

Pas d'économie pour les autres, juste le loisir de vivre pour soi tout le temps

Juste le loisir de pouvoir se faire plaisir sans penser aux autres, toujours dans nos pattes

Je prône un égocentrisme primaire, un compagnon, une maison, une bagnole et un boulot de quelques lattes

A côté de cela, le plaisir de se voir concentré autour de soi , d'avoir la liberté

D'avoir de quoi vivre, sans penser à demain, sans se soucier de rien, quel pied...

5 décembre 2006

Einstein, tu m'emmerdes

Je sors de ce local surchauffé, les cheveux ébouriffés

Les yeux rouges, les poings serrés

Je déteste ces épreuves me réduisant à néant

C'est vrai, bordel, à quoi vont me servir ces équations sans fondement

Sinon alimenter ma cheminée la dernier jour de cours?

J'ai pas l'esprit cartésien pour un clou, comme toujours

Pourquoi me faire une subir une épreuve stressante

Et me transformant en chiffon d'humain en descente

J'ai pas besoin de ces conneries pour vivre, j'ai pas besoin

Pas besoin de Thalès, d'Einstein ou de Pythagore pour tracer un chemin

Je claque une porte d'une main rouge de colère

J'ouvre mes yeux sur un ciel nuageux, le vide sur terre

J'ai pas l'esprit Cartésien

C'est ca qui m'empêche de vivre sans biens

Je déteste ces calculs inexistants, sans matière

Ce que j'écris, ce que j'analyse, ce que je lis, ce que je chante, c'est pour me plaire

Atome de mots, oui je suis lyrique, oui je suis lettre et pas nombre

Je fuis cette horreur de cours qui me suis a la trace comme une ombre

J'ai pas besoin des maths, j'ai pas besoin d'un prof, j'ai pas besoin des points

Quand je n'arrive pas à aligner des conneries de chiffres sur un graphe cartésien

J'analyse un texte, j'écris un édito et je lis un livre plus vite que n'importe qui ici

Je le sais, ma valeur est ailleurs, je hais ce programme, vivement que je me sois tirée d'ici

Vivement que ces démons quittent ma vie, ma seule hantise

C'est de devoir encore une fois recommencer à cause de leur emprise.

5 décembre 2006

Life is a big sex party

Je me fais mal, tous les jours,

Je ris et je pleure jour après jour

La vie, c'est une grande partie de culbutes

La vie, elle a tendance a agir comme une pute

Faut dire que je la cherche parfois aussi

Moi et mon hasard, moi et mes risques, rien ne me suffit

Toujours plus, toujours des distractions,

Toujours besoin de parler, toujours envie de quelqu'un a la maison

Je ne supporte plus la solitude, saloperie de déprime

Qui m'enfonce, me défonce et me faire faire des rimes

La vie, elle se vend au plus offrant, à celui qui se battra

Pour pouvoir la baiser et en profiter, celui qui en aura le droit

Faudrai que je sache si cette conne a des tendances bisexuelles

Sinon, j'aurais dur de me faire aimer d'une amante aussi peu sensuelle

Si difficile a cerner, si catégorique et colérique

Si soporiphique, magnétique et si compliquée à comprendre avec mon esprit critique...

En même temps, je jouis de vivre, je suis si heureuse, dans cette grande sex party

De m'emmerder, de vivre, de comprendre, de découvrir, de voir, ressentir et d'en faire partie!!!!

1 décembre 2006

Aller simple pour l'enfer

Je viens de claquer la porte a toutes ces emmerdes perpétuelles

Aller simple pour l'enfer, tu m'entraînes dans un cercle plus vicieux que moi

Je ne capte même plus pourquoi je t'ai suivi, j'y perds tout en bagatelle

Je vais m'asseoir et attendre que tu aie fini avec cette fille, tu te marres, toi

Au pieu, avec une top model, pendant que je me shoote à l'endorphine

Pendant que je cours pour produire une hormone qui me fera oublier

Combien j'ai pu être conne de te suivre, combien je m'en veux, d'être qu'une gamine

Je suis tombée dans les bras d'un tombeur, j'ai complètement craqué

Les mensonges s'accumulent dans les coins et dans ma tête, tu me trompes et pourtant

Je n'arrive même pas à t'en vouloir, tu me dis que je suis belle,

Mais c'est peut-être un mensonge, encore un putain de mensonge comme depuis trop longtemps

J'attends la chute finale, celle qui me fera comprendre qu'après le fond,il n'y a plus que des séquelles

Et je reste dans cette attente, avec toujours la même question dans ma pauvre tête

Que dois-je faire, sinon te foutre hors de chez moi et t'envoyer au diable?

Je sais que tu te foutrais de me gueule, je sais que tu couches encore comme une bête

Je sais aussi que tu ne m'en crois pas capable.

Et je reste là, pendant qu'elle crie, qu'elle participe à l'orgie

Et moi dans ma pauvre tête, je me répète

La chanson, celle que j'invente, Aller simple pour l'enfer...

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30 novembre 2006

La chasse au Matos

Avant, nous chassions pour manger,

Les animaux, pour dire de pas crever

Maintenant, notre soif d'activités s'éteint

Lorsque nous achetons, chasse aux objets, et demain?

Et demain? Notre série de vaisselle dernier cri

Sera t'elle notre consolation pour notre vie?

Notre nouvelle veste sera t'elle ce que nous avons toujours espéré?

Saura t'elle nous réconforter, nous aimer et nous protéger?

Fièvre acheteuse, chasse au matos, quelle maladie, tu nous affecte

A acheter, consommer, désirer, dépenser, tu nous infecte

Est-ce que notre salle à manger ikea saura nous faire la conversation?

Est-ce que ma nouvelle ceinture a la mode me donnera de l'affection?

Non, Non, Non, rien de tout ca, la seule chose que nous devons chasser

Avec acharnement, avec entêtement, comme je le fais chaque jour, c'est tenter

De trouver, dénicher, ce qui est rare et trop difficile a trouver

Une amitié...

26 novembre 2006

Emmerde

Je rentre chez elle, encore une fois,

Je m'emmerde plus que n'importe où ailleurs

Je voudrais bien quitter cet asile d'ennui perpétuel

Je voudrais bien me sauver moi

J'aimerai vivre, quitter enfin le réseau de malheur

J'aimerai quitter ces études, ces bureaux et ces contractuels

J'aimerai m'évader, exploser, aimer, libérée

J'en ai plus rien a foutre de vos petites vies à trois balles

Faites chier avec toutes vos petites conneries si inintéressantes

Je balance ce que je hais, je vous le dis tout net: vous m'emmerdez

J'en ai marre de votre conformisme, de votre petite vie rangée, de ne pas faire mal

J'en ai marre de tous ces connards autour de moi qui ratent leur vies, sur la mauvaise pente

23 novembre 2006

Métro, Boulot, Déconne

On se regarde depuis de longues minutes

Toutes les deux campées sur nos arguments

J'ai raison, je le sais, et tu le sais, moi, j'ai un but

Tu me balance toutes des belles paroles, où est l'important?

Tu veux faire de grandes longues et ennuyeuses études

Tu veux aller te faire chier dans une école où tu seras anonyme

Il y a tellement de choses que tu ignores, petite prude

Ecoute-moi bien... Tu espères que tout iras bien, avec grande diss en prime

Mais écoute bien ca, tu peux faire des années plongées dans un bouquin

Tu peux lècher la merde des semelles de tes profs d'université

Tu peux cracher cher et vilain, suer sang et haut pour satisfaire ton égo pas bien malin

Et pour finir, n'avoir qu'un diplome en poche et rien à bouffer

Tu peux être aux pieds d'un monde de chefs et de patrons

Qui n'en auront rien à foutre de tout ce que tu pourras penser ou croire

De toute facon, tu seras toujours anonyme parmi une foule de pauvres cons

Et rentrer chez toi, déprimée et sans espoir, après les heures sup' tard le soir

Oui, tu peux foutre ta vie en l'air just epour faire bien

Pour en jetter, pour avoir un semblant de vie comme il faut

Pour pouvoir te dire dans le miroir, quand tu te prépares le matin

Que t'as tout fait pour y arriver, et que ce serrai bête que tout tombe à l'eau

Oui tu peux être menée par la peur...

Ou alors, choisir la méthode facilitée de la félicité

C'est-à-dire, greluche, que tu prends les efforts selon ton labeur et ta sueur

Tu veux juste de quoi vivre, sortir et te loger?

Pas de problème, fais un truc qui te plait, même si c'est pauvre et pouilleux

Sors de ta carapace, lance tes oeillères à la gueule des profs d'université

Qui te poussent à la compet', qui te pousse à entrer dans un système de soumis peureux

Soumis, oui! Emmerde le monde, tapes un ou des boulots juste pour te marrer

Parce que vivre sa vie juste pour le boulot ce serai la fin

Alors prends d'abord qu'il te faut juste du fric pour t'amuser

Tu vas seulement 8 heures par jour pour pourvoir à tes besoins

En déconne, chauffrette et bouffe, est-ce que le reste vaut la peine de s'inquiéter?

Je crois pas que stresser pour un tel projet d'avenir soit exactement

Ce que je recherche dans une existence ou tous nous considèrent comme de la merde

Autant leur rendre la pareille et vivre pour soi et ceux qu'on aime vraiment

Plutot que de vivre pour soi et ses patrons, de toutes facon, tu peux que perdre...

22 novembre 2006

Make love and fight

La buée de ma fenêtre me déprime...

Dans un coin, des photos s'impriment

Sans arrêt, je ne me lasse jamais

De prendre l'amour et la guerre , c'est con, je sais.

Pourtant dans cette société rongée par les vers

Je ne vois rien d'autre qui existe, tout va de travers

C'est comme une immense bordel interplanétaire

Comme une chambre de gosse infestée de lépidoptères

Comme une mer trop plate

Envahie depuis des siècles par les blattes

Je déteste réfléchir à notre système complètement perdu

J'en ai marre de me rendre compte tout les jours que tout est foutu

Votre Europe, la vraie, celle que vous cachez à tant de misanthropes

Celle que vous construisez derrière du carton, en grands malpropres

Je ne veux plus en entendre parler, je ne veux plus avoir à l'étudier

Depuis des mois que plongée dans un bouquin lourd à supporter

Je vomis cette saloperie d'image superficielle que vous nous imposez

Bourrage de crâne pour mieux servir vos intérêts, menteurs, je hais vous étudier...

21 novembre 2006

Je peux me casser maintenant?

Tu m'arrêtes quand je sors, l'air de dire que tu as de l'autorité sur moi

Mais pour qui tu te prends? Tu me regardes, comme si je devais obéir, Lâche mon bras!

Tu parles, tu demandes des explications à mes réactions, je t'écoutes à peine

Je passe mon temps à regarder dehors, c'est moins chiant, la coupe est pleine

Je peux me casser maintenant? T'as fini ton speech? Y en a marre de toutes tes crises

Convaincus que je leur dois le respect parce que qu'ils croient avoir une emprise

Rien a foutre, lâche moi, je claque la porte, tu me suis, les escaliers s'avalent

Comme autant d'injures que je voudrais crier contre ta vanité et ta suffisance, mais çà fait mal

J'ai pas envie de tout gâcher pour un idiot qui se croit supérieur à une Gamine

Pourquoi tu me lâches pas, hein? T'as pas envie de te trouver quelqu'un d'autre? Tu me mines

Tu as encore un truc à ajouter? Tu me poursuis jusque dans la rue, tu m'emmerdes vraiment

Mais j'écoute toujours pas, je chante fort pour rien entendre, parce que je veux pas faire autrement

Tu cours, je marches, tu me retiens, un bon coup dans les couilles, un bon coup bien placé

Pour un sale fils de merde, tu agis en macho parce que t'en avais, mais laisse tomber

T'es nulle part pauvre débile, t'as rien compris à qui je suis, tu crois pouvoir me retenir

Par tes menaces et tes paroles acerbes, j'ai le droit de faire ce que je veux, pas de t'obéir

T'iras bien te faire foutre pour tout ce que tu viens de faire et de me dire, moi? Esclave?

Comme quoi on peut avoir un cerveau et pas s'en servir, t'es vraiment grave

Maintenant, laisse moi me casser, sous tes injures et tes paroles pleins de vices

Je me retourne, un beau fuck bien placé, et maintenant, je tourne une page bien triste

Enfin, seule... Chez moi, fini le harcèlement... Fini les babillements, fini les cris et les paroles inutiles

D'un mec pas capable de s'affirmer sans rabaisser une cible qu'il croit facile, enfant futile

Mon gsm sonne... TA GUEULE!

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